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Montpellier dans le Top 3 du Baromètre attractivité d’Arthur Loyd

Forte croissance de l’emploi, capacité à faire émerger des projets Transition-climat… "la capitale du Languedoc impressionne par sa vitalité démographique", souligne le premier réseau national de conseil en immobilier d’entreprise. Tour d'horizon.

La métropole de Montpellier caracole une fois de plus dans le Top 3 français du Baromètre Attractivité & résilience des métropoles "Transition des territoires". Réalisé par Arthur Loyd, réseau national de conseil en immobilier d’entreprise, ce classement annuel, véritable outil d’analyse du dynamisme des territoires, constitue une aide à la décision précieuse pour les décideurs économiques.

 « La capitale du Languedoc impressionne par sa vitalité démographique et sa capacité à attirer des populations, notamment jeunes. Un vivier de talents qu’elle sait former, comme en témoigne son taux élevé de diplômés de l’enseignement supérieur », souligne ainsi Arthur Loyd.

Autres atouts mis en avant : l’« excellente connexion (de son territoire) à la plupart des autres métropoles françaises et internationales » et sa position au premier rang en matière de connectivité, capital humain & Transitions. Explication : la métropole de Montpellier « prépare l’avenir par l’installation d’un réseau efficient de bornes de recharge électriques ou par la capacité du territoire à faire émerger des projets d’investissements dans les filières de transition climat ».

Classée au rang de « meilleure élève pour l’efficience de sa consommation foncière », la métropole de Montpellier capitalise aussi sur « la forte croissance de l’emploi et sur sa spécialisation dans les Activités Métropolitaines Supérieures » et elle « frappe les esprits par la résilience de son économie ».

« Les nombreuses entreprises qui animent le marché de l’immobilier professionnel peuvent enfin compter sur un bassin d’emplois important, de même que sur une offre de bureaux neufs satisfaisante », analyse Arthur Loyd.

Mais, toute médaille a son revers et son coût du logement élevé en est un.  « Certains territoires mis à l’honneur dans ce classement sont, sur certaines thématiques, victimes de leur succès. En effet, leur capacité à attirer des populations – nouveaux ménages ou étudiants – amène, dans le cas où les nouvelles opérations immobilières ne permettent pas de répondre aux nouveaux besoins, à une nette progression des coûts de l’immobilier », observe Arthur Loyd.
 
C’est pourquoi, complète l’étude, la Métropole de Montpellier « entend notamment travailler sur l’allègement du coût de la vie et l’incitation à l’usage de transports en commun », en particulier en devenant « la première métropole française à mettre en place la gratuité des transports en bus et en tram dans son territoire  ». À cœur vaillant, rien d’impossible !